"Je ne supporte pas qu'on attaque les footballeurs"
S'il se reconnaît dans les mots de Philippe Delerm qui, dans La Tranchée d'Arenberg et autres voluptés sportives, le qualifie de "footballeur de la mélancolie", Vikash Dhorasoo se voit aussi comme le footballeur de la joie et du bonheur. En revanche, il rejette l'affirmation récurrente selon lequel il serait un "joueur atypique" et se considère comme un "vrai joueur de foot", au même titre que ceux qu'on stigmatise trop souvent pour leur prétendu manque de culture.